L’assassin Royal 1 « l’apprenti assassin » de Robin Hobb

J’ai absolument adoré me retrouver plongée dans cet univers qui m’a rappelé ma lointaine lecture de Terremer de Ursula Le Guin.

Il s’agit tout d’abord du premier volet du premier cycle de L’Assassin Royal (premier volet 3 volumes + deuxième volet 4 volumes = au total 7 volumes de 500 pages… et donc de longues lectures en perspective)

Le premier volume nous plonge dans un univers médiéval fantastique avec des rois, des reines, des guerriers, des pirates et des chevaliers.

Certains sont dotés d’étranges pouvoirs :

« le Vif » ou la capacité de s’introduire dans la conscience d’un animal et de ressentir toutes ses sensations et émotions et donc ne faire qu’un avec ledit animal

Et « l’Art » ou la capacité de se connecter avec d’autres personnes, de communiquer avec elles, de les manipuler si nécessaire, voire de puiser leur énergie jusqu’à les en vider.

La magie du Vif doit rester cachée car elle est honteuse et elle peut être punie de mort. Celle de l’Art est autorisée et louée, même si elle peut entraîner une certaine dépendance.

Dans tout ce premier volume, on suit l’histoire de Fitz (qui signifie batard) depuis qu’il est livré à l’âge de 6 ans comme un encombrant paquet par son grand-père maternel, aux portes du château de son grand-père paternel.

C’est un roman d’apprentissage et même de survie pour ce jeune garçon qui a du mal à se trouver une place au milieu d’intrigues de la cour.

On découvrira au cours de ce roman que Fitz maîtrise les deux magies, celle de l’Art et celle du Vif.

J’ai déjà acheté le volume 2 et le volume 3 de cette histoire dont je vous recommande la lecture.