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Satisfait du blanchiment de la toile, le peintre réfléchit au portrait qu'il aimerait reproduire. Il se souvient avoir croiser une frêle demoiselle au dernier vernissage dans la galerie du Paradoxal. Ses mains parées de gants en peau de koala laissaient deviner toute leur finesse. Elle contemplait une nature morte de betteraves avant de disparaître au milieu des invités.
Imprégné de l'image de l'inconnue, le peintre esquisse quelques traits sur la toile. Le visage se dessine de plus en plus. Soudain une guêpe tourne autour de sa barbe postiche. Un coup de pinceau malheureux et adieu la belle.
Imprégné de l'image de l'inconnue, le peintre esquisse quelques traits sur la toile. Le visage se dessine de plus en plus. Soudain une guêpe tourne autour de sa barbe postiche. Un coup de pinceau malheureux et adieu la belle.
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19/08/2023 17:12
Bravo !
21/08/2023 17:43
Merci ! C'est sympa de passer féliciter 😉.
17/08/2023 16:25
tope-là, Tara :-)
17/08/2023 16:45
Cela me fait penser à mon texte sur les taupes ! Tu t'en souviens ?
Merci, merci... et bravo à toi aussi. Nous sommes les mousquetaires de SE, mdr !
17/08/2023 21:05
Je t'avoue que je m'en souviens vaguement :-)
05/07/2023 16:12
Pas grave, il re-blanchiera, et repeindra...
05/07/2023 17:36
Exactement ! Merci, Phil.
05/07/2023 08:31
Génial, très belle histoire.
05/07/2023 09:31
Merci merci...
05/07/2023 05:43
Picasso n'a pas eu besoin de barbe pour faire du cubisme :-)
05/07/2023 09:31
Ah ah... Merci et bises du jour !
04/07/2023 21:00
Trop bien l'histoire !
04/07/2023 21:12
Merci, c'est gentil. Belle soirée, Myrtille.