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L' univers de Gisèle
Le pays de Gisèle,
Nom invariable, l’Esperanto est mon pays.
En forme de cœur, il est composé d’une terre brune nourricière.
De la végétation, naît l’oxygène de ses poumons.
Le nombre d’habitants : celui de son anniversaire 471 976 habitants.
Nom des habitants : les espérantos et les espérantas.
La langue parlée : la langue des signes pour une paix née du silence.
Tableau d’Esperanto par Gisèle
Allongez-vous sur le sol et savourez l’odeur de fleurs.
Des petites violettes à l’odeur musquée, à côté des longues fleurs écarlates dont les pétales s’envolent en nous caressant le visage. Ne sentez-vous pas l’odeur des fruits tombés,
Le ciel et ses nuages blancs nous apportent une quiétude emplissant notre corps et de cœur.
Les rivières, le Nihil se plongeant dans la rivière Amimité, devenant, à ce moment-là, un fleuve bienveillant.
Les guerres entre la nature et l’homme d’il y a 30 ans, on détruit l’humanité. Les survivants ceux qui ont respecté la faune et la flore ce sont mus dans un silence de paix, écoutant le cœur de la planète, respirant la nature, communiant avec elle.
Enfin, tout le monde a repris sa place au sein de mon univers.
J’ouvre alors les yeux, je suis allongée dans le pré de mon grand-père au milieu des fleurs.
Cette planète était-elle bien réelle ou serait-ce mon imagination ?
Ne serait-elle pas celle que j’attends ?
Suis-je hors sujet peut-être? Mais j'avais envie de vous partager l'univers de mon Univers;
Nom invariable, l’Esperanto est mon pays.
En forme de cœur, il est composé d’une terre brune nourricière.
De la végétation, naît l’oxygène de ses poumons.
Le nombre d’habitants : celui de son anniversaire 471 976 habitants.
Nom des habitants : les espérantos et les espérantas.
La langue parlée : la langue des signes pour une paix née du silence.
Tableau d’Esperanto par Gisèle
Allongez-vous sur le sol et savourez l’odeur de fleurs.
Des petites violettes à l’odeur musquée, à côté des longues fleurs écarlates dont les pétales s’envolent en nous caressant le visage. Ne sentez-vous pas l’odeur des fruits tombés,
Le ciel et ses nuages blancs nous apportent une quiétude emplissant notre corps et de cœur.
Les rivières, le Nihil se plongeant dans la rivière Amimité, devenant, à ce moment-là, un fleuve bienveillant.
Les guerres entre la nature et l’homme d’il y a 30 ans, on détruit l’humanité. Les survivants ceux qui ont respecté la faune et la flore ce sont mus dans un silence de paix, écoutant le cœur de la planète, respirant la nature, communiant avec elle.
Enfin, tout le monde a repris sa place au sein de mon univers.
J’ouvre alors les yeux, je suis allongée dans le pré de mon grand-père au milieu des fleurs.
Cette planète était-elle bien réelle ou serait-ce mon imagination ?
Ne serait-elle pas celle que j’attends ?
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