Le douzième chapitre

 Hymne à mes souvenirs d'enfance au collège chez les soeurs, où j'y suis rentré à 9 ans et demi.

Ce roman m'évoque ça, mes souvenirs d'enfance, malgré que mon histoire n'a pas pris la même tournure.

C'est là que j'ai  découvert l'internat, la blouse bleue avec mon prénom écrit dessus, le règlement archi strict.

Sans oublier l'amitié, les bêtises, les fous rires, se faire tirer les oreilles par la mère supérieure, les punitions, l'innocence de ma jeunesse.

Mais surtout les promesses d'une amitié quasi-éternelle, à cet âge la, on est insouciante.

On croit à l'amitié dur comme fer.

On rêve, on s'émerveille, il n'y a pas les soucis d'adulte.

Il y a les pleurs, qui se transforment en rire.

Puis il y a en 2020 tous les souvenirs qui ressurgissent d'un coup en lisant ce roman.

Je sais ce n'est pas une critique, c'est bien plus pour moi.

J'ai été du début à la fin attraper par ce suspense, par ses pages, sans pouvoir m'arrête, j'ai été littéralement bercer par ce roman que j'ai dévoré.

Il m'a fais pensé tout le long à l'innocense de ma jeunesse , au histoire qu'on se racontais pour se faire peur à l'internat , à toutes ses bêtises , à se couvre feu où la mère supérieur à bien failli nous renvoyer pour mauvaise conduite .

À toutes ses crises de fou rire ...

À ses super copines devenues des souvenirs dans ma tête que je n'oublierais pas.

À ses mots et ses promesses qu'on s'était faites, mais qui avec le temps, on rejoint une boîte enseveli dans nos mémoires...

Le dénouement final et bluffant, un vrai retournement de situation.

C'est plus qu'un coup coeur pour moi , c'est un hymne au souvenirs,  au promesses,  au non dit , a la jeunesse , à l'innocense,à la magie de l'insouciance , à ce collège qui existe toujours avec les mêmes règles aussi stricte toujours dirigé par une mère supérieure à la poigne de fer .