« Angélique » de Guillaume Musso

Mathias Taillefer, un ancien flic, est hospitalisé après un accident cardiaque. À son réveil, il est surpris par la présence d’une jeune fille à ses côtés. C’est Louise Collange, une étudiante en médecine qui joue bénévolement du violoncelle aux patients. En apprenant la profession du malade, Louise tente de le persuader d’enquêter sur la mort de sa mère - Stella Petrenko, une étoile de l’Opéra de Paris. L’affaire étant déjà classée par la police, les deux lancent une investigation par leurs propres moyens. Parmi les différents acteurs qu’ils rencontrent sur le chemin, l’énigmatique infirmière Angélique semble pouvoir apporter une nouvelle lumière sur leurs recherches…

Comme chaque œuvre de Musso, la lecture « d’Angélique » était un vrai plaisir. De roman en roman, on a cette impression qu’ils sont de plus en plus perfectionnés au niveau de la narration, le déroulement de l’action et l’introduction des personnages. Ceux-ci sont toujours suffisamment ordinaires et à la fois mystérieux pour tenir les lecteurs en attente des révélations à venir. J’apprécie particulièrement le talent de l’auteur de savoir créer et soutenir le suspense tout au long de l’histoire, ne dépassant pas les frontières du probable, du réel.