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Anastasia

Il y a 2 ans | 177 vues

[REVUE DE PRESSE - semaine 19 - Fan de toutes les littératures]

Fait n°1 : Nouveau roman de Virginie Despentes
Préparez-vous car le 17 août prochain, Virginie Despentes fera son grand retour avec Cher connard, un roman épistolaire de 300 pages qui risque de marquer les esprits par son verbe et son contenu. Ici, nous retrouverons des « transfuges de classe », des « experts en polytoxicomanie », des « grandes gueules […] vulnérables » qui se prendront un jour de plein fouet l’Amitié…. Et il sera temps pour eux de baisser les armes.

 

Fait n°2 : Création d’une maison d’édition La Légende éditions
Toujours sur le thème de l’auteure de King Kong Théorie, nous avons appris que Virginie Despentes et Axelle Le Dauphin (photographe et vidéaste) créent ensemble leur propre maison éditoriale : La Légende éditions, avec une cadence de publication de 9 ouvrages par an. D’après ce que l’on sait, il faudra attendre l’automne prochain pour en voir le jour.

 

Fait n°3 : Michel Houellebecq remonte sur scène en juin à Paris
Certains auront le plaisir de retrouver Michel Houellebecq sur scène à Paris dans un peu plus d’un mois. Eh oui, du 27 au 29 juin, l’écrivain reprend son spectacle de poésie Existence à basse altitude, accompagné par la musique électronique du producteur Romain Poncet (mieux connu sous le pseudonyme de Traumer). 
Pssst. : ça se passera au Rex Club !

 

Fait n°4 : Michel Jullien, 1er lauréat du nouveau Prix Naissance d’une oeuvre

Avec son roman Andrea de dos, Michel Jullien se voit remporter la première édition du Prix Naissance d’une œuvre. Ce prix servira a récompenser dans auteurs confirmés mais peu connus. 
À ce jour, Michel Jullien est l’auteur de 8 livres. Dans son dernier roman, il nous emmène en Amérique du Sud, au cœur d’un pèlerinage. Sur des kilomètres, chacun tient dans sa main, griffonné sur un bout de papier, son vœu. Ils sont des milliers. Et durant cette très longue route, il ne faut pas lâcher la corde qui la suit. Tomber ou la perdre, même une courte seconde, c’est voir son vœu s’évaporer… jusqu’à l’année prochaine…
 

 


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