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Yasei
Légende

Il y a 7 mois | 97 vues

Sidérations de Richard Powers

Sidérations nous raconte la relation d’un père, Theo, avec son jeune fils, Robin, qui est autiste ; après le décès de sa femme, Theo essaie du mieux qu’il peut de gérer son travail d’astrobiologiste et son rôle de père auprès de son garçon qui demande une attention spécifique.
Robin a parfois des troubles du comportement et des crises, à l’école cela ne se passe pas bien et un jour, après une énième crise, l’établissement menace de contacter les services sociaux si le père ne fait pas le nécessaire pour que son fils améliore ses comportements.
Refusant la médication, Theo décide de faire entreprendre à son fils une thérapie expérimentale utilisant les neurofeedback et l’IA en se basant sur les enregistrements du cerveau de sa femme, faits il y a quelques années pour un protocole de recherche. 
Et cela va fonctionner au-delà de ses espérances…

Je ne sais pas exactement à quoi cela est dû, mais je me suis globalement ennuyée à la lecture de ce roman, qui porte pourtant des sujets qui auraient pu (dû !) être passionnants. Richard Powers, l’auteur, jongle pourtant habilement avec les sciences, la poésie, la nature, l’écologie, la politique, l’amour filial, le deuil… ; malgré tout,  j’ai décroché trop souvent pour réussir à m’impliquer dans l’histoire et m’attacher aux personnages. 
Certainement que cette sorte de dystopie était trop ambitieuse (pour moi) et m’a noyée dans son flot d’informations, saturant ma réflexion. 

Attentes déçues donc, à relire plus tard, peut-être…

 


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