Veuillez commenter votre vote
, (0/0)
Retour
Ce bon vieux Bobby McFlinch se souviendrait toujours de leur arrivée. C’était un mardi, le 26 mars 1964.
Il préparait la terre pour les betteraves et il avait chaud. Sa femme, rebutée par sa calvitie et le blanchiment de sa barbe, l’obligeait à porter un postiche qui le faisait suer à grosses gouttes, ce qui était paradoxal puisqu’elle trouvait ça encore plus rebutant…
Là où, l’instant d’avant, il n’y avait que de la terre, se trouvait un petit bonhomme vert qui l’apostropha :
« Salut Toto ! Ne bouge pas, tu as un koala mouillé sur le crâne ! »
Il préparait la terre pour les betteraves et il avait chaud. Sa femme, rebutée par sa calvitie et le blanchiment de sa barbe, l’obligeait à porter un postiche qui le faisait suer à grosses gouttes, ce qui était paradoxal puisqu’elle trouvait ça encore plus rebutant…
Là où, l’instant d’avant, il n’y avait que de la terre, se trouvait un petit bonhomme vert qui l’apostropha :
« Salut Toto ! Ne bouge pas, tu as un koala mouillé sur le crâne ! »
Veuillez commenter votre vote
, (0/0)
17/07/2023 20:21
🤣🤣🤣
17/07/2023 14:35
trop drole
17/07/2023 10:22
🤣
17/07/2023 09:41
Excellent !
17/07/2023 09:39
Comme Zaza, j'adore ! 😀 j'imagine tout à fait la scène !!!!!
17/07/2023 09:13
J'adore !! 😂😂 C'est très drôle ! Excellent pour bien démarrer la semaine !!
17/07/2023 09:21
Merci!
C'est un clin d'oeil au livre "Martiens, go home!" de Fredric BROWN