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A peine débarquée sur le sol australien, que les ennuis se jettent sur moi, plus vite qu'un koala sur une forêt d'eucalyptus. Autant de douaniers pour une jeune femme sans défense comme moi, c'est plutôt paradoxal. Mais, de là à me tirer sur les cheveux pour vérifier qu'il ne s'agit pas d'un postiche me parait abuser. Mon passeport confirme mon identité: Nikita BAUER de Boston. Le plus grand m'explique le problème. Quelqu'un m'aurait balcée. Je suis soupçonnée de blanchiment d'argent et de traffic d'alcool de betteraves en provenance de Pologne. Diection la cellule de l'aéroport, et bracelets serrés aux poignets.
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