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Réservé aux membres Les Bédéphiles
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Quelles bandes dessinées avoir lu dans sa vie ? Petite, dans les années 70, je lisais beaucoup de bd, surtout comiques ou d’aventure : Astérix, Spirou, Tintin, Les Dingodossiers, Les tuniques bleus, Lucky Luke, Le scrameustache, Les schtroumpfs, Gaston Lagaffe, Rantamplan, Clifton, Ric hochet, kid ordinn, Boule et Bill, Cubitus, Léonard, Philémon … Si je devais en conseiller deux, à avoir lu dans sa vie, ce serait Astérix pour ses références amusantes (on en découvre de nouvelles à chaque relecture) et Philémon pour son univers surréaliste.
Un peu plus âgée, j’ai adoré Quino (tout, pas seulement Mafalda) pour ses dessins drôles et engagés et Jim Davis, le papa de Garfield, félin que je trouvais désopilant en dépit de sa paresse et de son côté odieux.
Aujourd’hui, je lis toujours des BD : je recommande Jul (pour Silex and the city) mais surtout pour La planète des sages 1 et 2 en collaboration avec Pépin ( qui est LA bd que j’emmènerais sur une île déserte : c’est une encyclopédie divertissante de la philosophie) et Platon la Gaffe, survivre au travail avec les philosophes.
Le chat de Geluck et Les Bidochons sont un peu des classiques.
Plus récemment, j’ai adoré l’humour absurde de Fabcaro dans Zaï zai zaï zaï (D’ailleurs un film va en être tiré) et les problématiques contemporaines vertigineuses que pose Enki bilal dans Bug : un étrange bug informatique désorganise toute la société. En plus, les dessins sont beaux…
Un peu plus âgée, j’ai adoré Quino (tout, pas seulement Mafalda) pour ses dessins drôles et engagés et Jim Davis, le papa de Garfield, félin que je trouvais désopilant en dépit de sa paresse et de son côté odieux.
Aujourd’hui, je lis toujours des BD : je recommande Jul (pour Silex and the city) mais surtout pour La planète des sages 1 et 2 en collaboration avec Pépin ( qui est LA bd que j’emmènerais sur une île déserte : c’est une encyclopédie divertissante de la philosophie) et Platon la Gaffe, survivre au travail avec les philosophes.
Le chat de Geluck et Les Bidochons sont un peu des classiques.
Plus récemment, j’ai adoré l’humour absurde de Fabcaro dans Zaï zai zaï zaï (D’ailleurs un film va en être tiré) et les problématiques contemporaines vertigineuses que pose Enki bilal dans Bug : un étrange bug informatique désorganise toute la société. En plus, les dessins sont beaux…
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