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Vendredi, à minuit. Une femme rendue anonyme par la pesanteur de la nuit marche dans une ruelle de la ville. Gauche, droite, tout droit. Après avoir parcouru une centaine de mètres, une pluie glaçante s’abat. Elle hâte le pas. Plus vite elle rentrera chez elle et plus vite elle pourra oublier cette journée. Plongée dans ses pensées, elle ne voit ni n’entend, les pas d’un inconnu qui la suivent dans la nuit.
Elle remarque un porche, sur sa gauche, et s’y engouffre : elle profite de cette accalmie météorologique pour ôter ses lunettes et sa perruque : avec ce temps digne d’un mois de décembre et la nuit profonde, on ne peut pas la reconnaître.
En sortant du porche, elle remarque un homme particulièrement séduisant et bien habillé qui semble attendre quelqu’un. Elle poursuit son chemin sans se douter que son destin allait se jouer dans les minutes suivantes.
Jamais, elle n’aurait pensé que le FBI lui confierait une mission en France, un pays qu’elle a toujours adoré et plus particulièrement ses bons mets et vins. Mais, aujourd’hui, dans ce beau pays, elle n’est pas parvenue à trouver la taupe dans un service informatique performant faisant des recherches sur la robotisation des êtres humains : sa hiérarchie est furieuse et la harcèle de questions.
Heureusement, elle a pu compter sur un ami pour l’accompagner dans un bar afin de noyer son stress et sa frustration dans un breuvage quelque peu alcoolisé.
Aussi, n’a-t-elle pas les idées encore très claires et continue d’avancer jusqu’à son logement temporaire. Elle cherche ses clés et enclenche la poignée quand, soudain, une main vient se plaquer sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle tremble, essaie sans succès de se défendre mais l’inconnu la pousse férocement à l’intérieur.
Elle découvre avec horreur qu’il s’agit de l’homme bien habillé qui l’a poussée de la sorte et ne comprend pas la situation.
- Que me voulez-vous ? parvient-elle à articuler difficilement
- Je suis un agent du KGB. J’aimerais que nous collaborions ensemble ou sinon j’envoie les photos de vous et de mon ami en train de prendre un verre au bar. Vous pensez que le FBI appréciera cette photo ?
Elle réfléchit à vive allure à sa situation. Cet homme était fort séduisant, son enquête avait échoué, la France était un beau pays avec une certaine douceur de vivre, pourquoi irait-elle se faire vilipender et humilier par sa hiérarchie ?
- Que me proposez-vous ? demanda-t-elle alors à l’inconnu
- De me suivre à mon hôtel où nous pourrons discuter de notre collaboration car je vous suis depuis quelques temps déjà et j’ai remarqué vos habitudes culinaires qui me conviennent parfaitement.
Elle remarque un porche, sur sa gauche, et s’y engouffre : elle profite de cette accalmie météorologique pour ôter ses lunettes et sa perruque : avec ce temps digne d’un mois de décembre et la nuit profonde, on ne peut pas la reconnaître.
En sortant du porche, elle remarque un homme particulièrement séduisant et bien habillé qui semble attendre quelqu’un. Elle poursuit son chemin sans se douter que son destin allait se jouer dans les minutes suivantes.
Jamais, elle n’aurait pensé que le FBI lui confierait une mission en France, un pays qu’elle a toujours adoré et plus particulièrement ses bons mets et vins. Mais, aujourd’hui, dans ce beau pays, elle n’est pas parvenue à trouver la taupe dans un service informatique performant faisant des recherches sur la robotisation des êtres humains : sa hiérarchie est furieuse et la harcèle de questions.
Heureusement, elle a pu compter sur un ami pour l’accompagner dans un bar afin de noyer son stress et sa frustration dans un breuvage quelque peu alcoolisé.
Aussi, n’a-t-elle pas les idées encore très claires et continue d’avancer jusqu’à son logement temporaire. Elle cherche ses clés et enclenche la poignée quand, soudain, une main vient se plaquer sur la bouche pour l’empêcher de crier. Elle tremble, essaie sans succès de se défendre mais l’inconnu la pousse férocement à l’intérieur.
Elle découvre avec horreur qu’il s’agit de l’homme bien habillé qui l’a poussée de la sorte et ne comprend pas la situation.
- Que me voulez-vous ? parvient-elle à articuler difficilement
- Je suis un agent du KGB. J’aimerais que nous collaborions ensemble ou sinon j’envoie les photos de vous et de mon ami en train de prendre un verre au bar. Vous pensez que le FBI appréciera cette photo ?
Elle réfléchit à vive allure à sa situation. Cet homme était fort séduisant, son enquête avait échoué, la France était un beau pays avec une certaine douceur de vivre, pourquoi irait-elle se faire vilipender et humilier par sa hiérarchie ?
- Que me proposez-vous ? demanda-t-elle alors à l’inconnu
- De me suivre à mon hôtel où nous pourrons discuter de notre collaboration car je vous suis depuis quelques temps déjà et j’ai remarqué vos habitudes culinaires qui me conviennent parfaitement.
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