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HUIS CLOS de Jean-Paul SARTRE, le "pape" de l’existentialisme, sera ma troisième proposition. Soudain, ça a fait tilt dans ma tête… car je relis régulièrement cette pièce que j’apprécie pour la justesse du propos et des situations.
Nombre de pièces me sont venues à l’esprit pendant des jours et des jours depuis le début du challenge.
Impossible de toutes les citer et difficile de choisir. Mais puisqu'il faut choisir, en voici une qui est digne du plus grand intérêt.
L’histoire : Garcin, Inès et Estelle entrent en scène les uns après les autres. Cet homme et ces deux femmes se trouvent réunis, enfermés dans une même pièce. Ils semblent ignorer la raison de leur présence en ce lieu. Les discussions s’engagent et on découvre que les trois protagonistes sont tellement différents les uns des autres qu’ils sont incompatibles. Tous leurs efforts n’y changeront rien.
Cela n’est pas sans rappeler Sisyphe, dont le châtiment perpétuel et éternel consistait à faire rouler un rocher jusqu’au sommet d’une montagne… mais le rocher retombait et Sisyphe recommençait…
Ici, Sartre explore les recoins sombres de l'âme et du coeur des trois personnages qui naviguent entre attraction et répulsion. Les dialogues sont parfaits, à mon goût, et appuient la démonstration. On se laisse emporter, on partage les émotions : joie, douleur, mépris, colère… etc. Aucun mensonge n’est épargné. Tout y passe. Et pour ceux qui ne connaîtraient pas encore cette pièce et n’auraient pas deviné où se trouvent nos trois personnages, je ne dévoilerai pas la fin ni la phrase magistrale qui éclaire et résume tout.
Pour l’anecdote : il paraît qu’en écrivant cette pièce, Jean-Paul Sartre pensait avoir écrit une pièce drôle…
Nombre de pièces me sont venues à l’esprit pendant des jours et des jours depuis le début du challenge.
Impossible de toutes les citer et difficile de choisir. Mais puisqu'il faut choisir, en voici une qui est digne du plus grand intérêt.
L’histoire : Garcin, Inès et Estelle entrent en scène les uns après les autres. Cet homme et ces deux femmes se trouvent réunis, enfermés dans une même pièce. Ils semblent ignorer la raison de leur présence en ce lieu. Les discussions s’engagent et on découvre que les trois protagonistes sont tellement différents les uns des autres qu’ils sont incompatibles. Tous leurs efforts n’y changeront rien.
Cela n’est pas sans rappeler Sisyphe, dont le châtiment perpétuel et éternel consistait à faire rouler un rocher jusqu’au sommet d’une montagne… mais le rocher retombait et Sisyphe recommençait…
Ici, Sartre explore les recoins sombres de l'âme et du coeur des trois personnages qui naviguent entre attraction et répulsion. Les dialogues sont parfaits, à mon goût, et appuient la démonstration. On se laisse emporter, on partage les émotions : joie, douleur, mépris, colère… etc. Aucun mensonge n’est épargné. Tout y passe. Et pour ceux qui ne connaîtraient pas encore cette pièce et n’auraient pas deviné où se trouvent nos trois personnages, je ne dévoilerai pas la fin ni la phrase magistrale qui éclaire et résume tout.
Pour l’anecdote : il paraît qu’en écrivant cette pièce, Jean-Paul Sartre pensait avoir écrit une pièce drôle…
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