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tableau 1 le verre de vin
Ma tour, ma chambre prison,
Seule consolation, ce verre de vin,
Qui me fait oublier
Mon isolement.
Vous voilà très cher,
Allez-vous encore me demander ma main,
Je n’en veux point.
Nous ne vivons plus au temps de la Belle et la Bête.
Vous voulez m’épouser en me cachant de mon bien- aimé,
Versez- moi un autre verre de vin,
Il endort ma douleur.
Voyez-vous chaque jour, devant ses vitraux,
Je prie la vierge Marie,
Afin que justice soit faite.
Vous me dites Milord,
Que mon cher Gascon est mort,
Je ne puis vous croire,
Mon cœur n’a pas senti le coup de poignard,
Coupant le fil de sa vie.
Non, je sais que mon cher d’Artagnan,
Vit
Nulle Parques n’a utilisé ses ciseaux
Contre mon fiancé tantôt.
Regardez ce verre de vin,
Je vous le jetterai sur votre belle cape,
Si d’aventure mon cœur se meurt.
Mais ne vous leurrez aucunement,
Vous voulez ma fortune
Et moi dans votre couche,
Ne vous trompez plus,
Je ne vous intéresse
Que part mes refus
Et par cet argent qui vous fait tant défaut.
Ne me forcez plus,
Je préférerai jeter ma chaise contre la fenêtre.
Ne me tentez plus
Afin de ne plus vous voir
Revenir chaque soir.
Ma réponse,
Telle la Belle,
Vous dire non.
Ma réponse,
Pour toujours sera non.
Et telle Raiponce, je sortirai de mon donjon,
Je franchirai ce vitrail,
Pour échapper à tout jamais,
A nos épousailles.
Ma tour, ma chambre prison,
Seule consolation, ce verre de vin,
Qui me fait oublier
Mon isolement.
Vous voilà très cher,
Allez-vous encore me demander ma main,
Je n’en veux point.
Nous ne vivons plus au temps de la Belle et la Bête.
Vous voulez m’épouser en me cachant de mon bien- aimé,
Versez- moi un autre verre de vin,
Il endort ma douleur.
Voyez-vous chaque jour, devant ses vitraux,
Je prie la vierge Marie,
Afin que justice soit faite.
Vous me dites Milord,
Que mon cher Gascon est mort,
Je ne puis vous croire,
Mon cœur n’a pas senti le coup de poignard,
Coupant le fil de sa vie.
Non, je sais que mon cher d’Artagnan,
Vit
Nulle Parques n’a utilisé ses ciseaux
Contre mon fiancé tantôt.
Regardez ce verre de vin,
Je vous le jetterai sur votre belle cape,
Si d’aventure mon cœur se meurt.
Mais ne vous leurrez aucunement,
Vous voulez ma fortune
Et moi dans votre couche,
Ne vous trompez plus,
Je ne vous intéresse
Que part mes refus
Et par cet argent qui vous fait tant défaut.
Ne me forcez plus,
Je préférerai jeter ma chaise contre la fenêtre.
Ne me tentez plus
Afin de ne plus vous voir
Revenir chaque soir.
Ma réponse,
Telle la Belle,
Vous dire non.
Ma réponse,
Pour toujours sera non.
Et telle Raiponce, je sortirai de mon donjon,
Je franchirai ce vitrail,
Pour échapper à tout jamais,
A nos épousailles.
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20/02/2024 13:39
Très original, bravo!
15/02/2024 21:33
Un format de récit original, bien trouvé! 👍
15/02/2024 20:03
Je lève mon verre à vos vers, Gisèle 🍷
15/02/2024 18:30
Ah! Qu'en verres...oups!...vers, ces choses là sont bien dites ! Bravo Gisèle.😁👍
15/02/2024 16:21
Bravo
15/02/2024 14:29
Bravo Gisele, j'aime beaucoup !