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Ma France
Sous ce couvercle de nuages chargés de pluie , ta colère couve et je l’entends . En ce jour de 1er mai, tu es coiffée d’un ciel gris alors qu’au coin des rues, les petites clochettes du muguet tentent de rameuter le bonheur de vivre. J’aimerais tant que les Hommes retrouvent le goût du partage et de la tolérance dans chaque lieu que ta belle géographie nous propose. Au fil de tes fleuves et rivières, dans les douces collines de ta campagne, les sommets altiers de tes montagnes, les embruns iodés de tes côtes, les tendres prairies de ton bocage, les cœurs de villes et de villages, tu offres généreusement la beauté de toutes tes différences, la richesse de toute ta diversité.
Petit pays, mais cœur immense pour vivre ensemble sans être à couteaux tirés. Comment ne pas aimer tes itinéraires de routes, de chemins, de petits sentiers , autant de veines vives où coule la sève d’une liberté chantée par ton hymne national ? Il fait bon vivre, chez toi, je ne l’ai pas oublié. J’ai des cheveux blancs et je sais combien tu peux te sortir avec courage de bien des mauvais pas. Les agressions, les guerres, les attentats, tu t’en relèves à chaque fois. Mais comment t’aider à juguler la violence rampante qui en ce moment, voile de noir intrinsèquement tes horizons ? Ma France, je crains pour toi. Rassure-moi.
Je tiens à toi.
Une citoyenne.
Sous ce couvercle de nuages chargés de pluie , ta colère couve et je l’entends . En ce jour de 1er mai, tu es coiffée d’un ciel gris alors qu’au coin des rues, les petites clochettes du muguet tentent de rameuter le bonheur de vivre. J’aimerais tant que les Hommes retrouvent le goût du partage et de la tolérance dans chaque lieu que ta belle géographie nous propose. Au fil de tes fleuves et rivières, dans les douces collines de ta campagne, les sommets altiers de tes montagnes, les embruns iodés de tes côtes, les tendres prairies de ton bocage, les cœurs de villes et de villages, tu offres généreusement la beauté de toutes tes différences, la richesse de toute ta diversité.
Petit pays, mais cœur immense pour vivre ensemble sans être à couteaux tirés. Comment ne pas aimer tes itinéraires de routes, de chemins, de petits sentiers , autant de veines vives où coule la sève d’une liberté chantée par ton hymne national ? Il fait bon vivre, chez toi, je ne l’ai pas oublié. J’ai des cheveux blancs et je sais combien tu peux te sortir avec courage de bien des mauvais pas. Les agressions, les guerres, les attentats, tu t’en relèves à chaque fois. Mais comment t’aider à juguler la violence rampante qui en ce moment, voile de noir intrinsèquement tes horizons ? Ma France, je crains pour toi. Rassure-moi.
Je tiens à toi.
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05/05/2024 01:01
Oui Jac, nous vivons dans un si beau pays... de quoi se plaint on sans cesse, ici et là... ?
Ton texte est très beau ! ❤️
03/05/2024 14:28
Superbe !
02/05/2024 20:36
C’est très beau, Amb 🙂
02/05/2024 15:37
Superbe ! Une très belle missive qui je l'espère arrivera dans toutes les boîtes aux lettres, surtout celles de nos gouvernants... Merci AMB.
02/05/2024 14:06
Un très beau texte. Merci
02/05/2024 13:03
Votre participation est très touchante, je pense comme vous, on a de la chance de vivre dans notre pays et espérons que notre France tiendra bon....