Veuillez commenter votre vote
, (0/0)
Retour
Plus de commentaires
Mon cher Charles Robert
Hier, je me suis plongée dans ton journal de voyage. Quelle aventure fabuleuse ! Tous ces croquis, ces commentaires me touchent toujours autant et il fallait bien un Homme comme toi, sur terre, pour s’interroger sur la magnifique aventure de la vie. Porter au crédit des espèces, l’intelligence d’une adaptation, l’initiative d’une sélection naturelle, quelle audace pour l’époque , mais quelle déchirante fatalité pour moi qui voit beaucoup d’espèces disparaître de mes horizons. Mon cœur se serre en voyant les éléphants, les lions, certains oiseaux ne devoir leur préservation qu’aux clôtures ou aux barreaux qui les protègent d’une espèce dite supérieure, mais devenue souvent toxique pour la Nature.
Qu’est-ce que j’aurais aimé t’accompagner à bord du Beagle, partager la curiosité passionnée qui t’habitait. Mon cher Charles Robert, je n’ai aucune compétence scientifique et je ne m’explique toujours pas pourquoi ton arbre phylogénétique provoque autant d’émotion chez moi. Plus que jamais je me pose des questions sur les relations de parenté entre les groupes d’êtres vivants. Cette « parenté » semble maintenant générer plus de conflits souvent funestes qu’un esprit de famille en harmonie avec l’Univers.
Je suis en train de regarder ta photo, ta longue barbe de druide, ton regard perçant dans l’ombre de tes sourcils broussailleux. De là-haut où tu es, que penses-tu de la PMA, de la GPA, de l’IA ? Nul doute qu’ici-bas, tu te serais penché sur ces sujets, apportant tes perspectives de scientifique avisé, soucieux d’une éthique respectueuse du vivant.
Mon cher Darwin, ton journal de voyage est marqué par le temps. Si tes découvertes ont pris la patine des acquis, certaines sont toujours en marche pour l’Humanité. Peux-tu intercéder pour qu’elles ne dérivent pas ?
Une admiratrice inconditionnelle.
Hier, je me suis plongée dans ton journal de voyage. Quelle aventure fabuleuse ! Tous ces croquis, ces commentaires me touchent toujours autant et il fallait bien un Homme comme toi, sur terre, pour s’interroger sur la magnifique aventure de la vie. Porter au crédit des espèces, l’intelligence d’une adaptation, l’initiative d’une sélection naturelle, quelle audace pour l’époque , mais quelle déchirante fatalité pour moi qui voit beaucoup d’espèces disparaître de mes horizons. Mon cœur se serre en voyant les éléphants, les lions, certains oiseaux ne devoir leur préservation qu’aux clôtures ou aux barreaux qui les protègent d’une espèce dite supérieure, mais devenue souvent toxique pour la Nature.
Qu’est-ce que j’aurais aimé t’accompagner à bord du Beagle, partager la curiosité passionnée qui t’habitait. Mon cher Charles Robert, je n’ai aucune compétence scientifique et je ne m’explique toujours pas pourquoi ton arbre phylogénétique provoque autant d’émotion chez moi. Plus que jamais je me pose des questions sur les relations de parenté entre les groupes d’êtres vivants. Cette « parenté » semble maintenant générer plus de conflits souvent funestes qu’un esprit de famille en harmonie avec l’Univers.
Je suis en train de regarder ta photo, ta longue barbe de druide, ton regard perçant dans l’ombre de tes sourcils broussailleux. De là-haut où tu es, que penses-tu de la PMA, de la GPA, de l’IA ? Nul doute qu’ici-bas, tu te serais penché sur ces sujets, apportant tes perspectives de scientifique avisé, soucieux d’une éthique respectueuse du vivant.
Mon cher Darwin, ton journal de voyage est marqué par le temps. Si tes découvertes ont pris la patine des acquis, certaines sont toujours en marche pour l’Humanité. Peux-tu intercéder pour qu’elles ne dérivent pas ?
Une admiratrice inconditionnelle.
Veuillez commenter votre vote
, (0/0)