Veuillez commenter votre vote
, (0/0)
Retour
Cher ami, cher Bernard, cher monsieur Bouillon de culture,
combien n’avons nous pas rêvé devant l’émission de quelque jour être là, à notre tour assis en face de vous ? Quelles réponses éblouissantes n’avons nous pas composées à vos bienveillantes questions pour éclairer les facettes les plus remarquables du roman, que nous n’avons jamais écrit, bien entendu ! Participer à Bouillon de culture, le Graal !
Alors fi des remarques désobligeantes de je ne sais qui (et surtout je ne veux pas savoir) sur la littérature soit disant bourgeoise qui s’offrait à notre curiosité. Peut être est ce bien parce que les participants et vous tout d’abord, se montraient respectueux les uns envers les autres. Que diable pas d’invectives ! Pas de réponses imposées dans les questions : pourquoi donc vos collègues journalistes censurent-ils les auteurs, interdits de réfléchir, contraints de répondre par oui ou non laissant la vedette à ceux qui n’ont rien créé ? Il faut, en toute honnêteté, ajouter que le nuage de tabac pouvait empêcher les participants de voir clairement leurs concurrents, apaiser leur agressivité. Il y avait du temps, voir l’entretien magique avec Duras, Marguerite de son prénom.
C’était toute une époque révolue alors merci Monsieur Pivot.
Sic transit gloria mundi !
combien n’avons nous pas rêvé devant l’émission de quelque jour être là, à notre tour assis en face de vous ? Quelles réponses éblouissantes n’avons nous pas composées à vos bienveillantes questions pour éclairer les facettes les plus remarquables du roman, que nous n’avons jamais écrit, bien entendu ! Participer à Bouillon de culture, le Graal !
Alors fi des remarques désobligeantes de je ne sais qui (et surtout je ne veux pas savoir) sur la littérature soit disant bourgeoise qui s’offrait à notre curiosité. Peut être est ce bien parce que les participants et vous tout d’abord, se montraient respectueux les uns envers les autres. Que diable pas d’invectives ! Pas de réponses imposées dans les questions : pourquoi donc vos collègues journalistes censurent-ils les auteurs, interdits de réfléchir, contraints de répondre par oui ou non laissant la vedette à ceux qui n’ont rien créé ? Il faut, en toute honnêteté, ajouter que le nuage de tabac pouvait empêcher les participants de voir clairement leurs concurrents, apaiser leur agressivité. Il y avait du temps, voir l’entretien magique avec Duras, Marguerite de son prénom.
C’était toute une époque révolue alors merci Monsieur Pivot.
Sic transit gloria mundi !
Veuillez commenter votre vote
, (0/0)
10/05/2024 10:28
ça bouillonnait réellement sans jamais déborder , monsieur Pivot savait écumer l'essentiel, une bonne émission, le talent d'un bon journaliste. Merci Emma 👍😊
10/05/2024 12:43
petit hommage de spectatrice